KAMEL DAOUD
par Kamel Daoud
Et en revenant à l'histoire de cette prestigieuse vue sur ville défigurée par
D'ailleurs et pour finir, il n'y pas plus hideux que les mosquées algériennes :
Commentaires
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- 1. Ilyes Le 24/07/2017
L’invective de ses billets de pigiste "contestataire radical du système" s’est particulièrement illustrée par sa haine sectaire et régionaliste anti-Tlemcen, ses élites et son histoire de royaume creuset d’une civilisation millénaire (patrimoine culturel reconnu et preuve opposée aux négationnistes de l’existence d’une nation civilisée en Algérie avant l’arrivée de la colonisation des rois de France).
Ceci dit en passant, ses insultes directes d’une partie du lectorat du quotidien d’oran, ne semblait pas déranger la rédaction du torchon en question.
Comme le ridicule est gratuit, l’opportuniste sans paternité civilisationnelle ou même intellectuel, lui vaux aujourd'hui d'être porté par les médias au panthéon malgré que médiocre et pédant ; pourvu qu’il hurle avec les loups et s’excite à admirer la beauté de son nombril, parce qu’il ignore encore d’où il vient…
Puisque l'inculture branchée par les temps qui courent permet à des individus d'être quelque chose, dont ils ne connaissent ni l'histoire, ni même, pour qui ils courent à leur perte
Merci et félicitation à ce site pour ses ressources authentiques.et instructives. -
- 2. habib Le 11/07/2017
Qui se souvient de relizane ?
Ce vide civilisationnel qui a vu naitre Kamel daoud.
Ce plumetié, serait plus inspiré de parler de sa douare natale.
Avant l'autoroute, il fallait la traverser pour aller à Alger.
ce qu'il décrit est tout juste la description de son hameau.
de sa naissance à ce jour.
Quelle est sa référence du concept du beau qu'il egrene
comme une litanie copiée à l'image de ses écrits prétencieux,
encouragés par les seules officines, à la solde des revanchards
contre l'Algérie qui refutent au grand Mohammed DIB les marques
du mérite litteraire pour mettre en avant des incrédules plus adaptés
à l'image de l'indigenes plus proche des singes domestiqués.
Quand à sa diarrhée aigue sur la laideur de l'oeuvre des aprentis
faiseurs de nouvelles citées Algériennes, il oublie que c'est exactement
ce renversement des élites qui lui a permis d'écrire sa prose d'attardé.
Je ne vois vraiment aucun rapport entre sa litanie et la ville antique
de tlemcen qu'il déteste par envie de ses racines et son niveau trés médiocre.
C'est un cas pathologique et ce commentairet n'est qu'un rappel de ses racine.
La nature revient toujours au galop,... à bon entendeur..
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- 3. BELLAKEHAL Le 23/10/2010
Sauf le profond respect que je dois à la Capitale des Zianides et mes très amis Tlémceniens , et à tous les habitants de notre chère Pamaria , je ne décèle ici nullement le raffinement et la bonne education coutumière des habitants de la contrée.Pour votre information , M. Camel ne defend nullement la belle architecture et de l'urbanisme , il n'en a cure , son seul souci c'est de brocarder tout ce qui a trait à l'Islam , et il se trouve que la prétendue laideur de nos"mosquées" n'est qu'un pretexte pour deverser un peu plus de fiel sur notre religion.Un tel individu n'a point besoin d'avocat car , fort des complicités que lui procure sa plume furieusement antireligieuse faisant de lui le VOLTAIRE algérien nobélisable ,il s'est drapé dans le cynisme et l'immoralité savamment calculés qui l'ont anesthesié.Désormais , il chevauche son pégase à la poursuite de chimères tendrement consolatrices -
- 4. samirsami Le 19/10/2010
monsieu lakehall.
votre style ronflant, votre pédantisme puant le celui à qui on ne la fait pas n'ont d'egaux que votre impolitesse et un sentiment de supériorité dénotant l' arriviste perceptible. .pourquoi s'en prendre à un homme qui ne fait que rapporter un fait avéré,en l'occurence un viol caractérisé contre un site naturel de Tlemcen?que vient faire l'arabe dans tout cela?et les renégats?si monsieur Daoud s'exprime c'est son droit le plus absolu.Il doit le faire.Quant à vous prélassez vous dans vos certitudes et votre nostalgie.le sens du beau vous echappe et c'est tant pis.
ps.voue etes monsieur ,L'inquisiteur modèle.c'est l'impression que je retiens de votre post au fiel.
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- 5. ali Le 19/10/2010
Un rêve de fainéant
Ali Bellakehal
Cher Kamel David,
Vous voulez passer pour un chercheur, l’air savant avec vos notions tirées par les cheveux, bercé par le secret désir d’en faire des concepts et d’user et abuser jusqu'à la nausée de « la colonisation horizontale » « la colonisation arabe » « le mythe de l’Islam ». Le procédé relève plus de la propagande que de l’argumentation puisqu’en guise d’arguments, de logique, vous alignez les injures, l’écume dégoulinant de votre plume enragée, avec pour seul outil de persuasion la complicité de thuriféraires – ceux qui décernent complaisamment les prix aux « cireurs de l’occident » et autres sadomasochistes – vous accordant les pages de leur feuille de chou.
Il est plus aisé d’enfoncer le clou, de faire passer les vessies pour des lanternes, en rabâchant la même litanie à longueur de pages que de déployer une vraie plaidoirie. Certes le bagou, la verve circonstancielle et circonstanciée peut ravir l’âme par sa puissance évocatrice, susciter la passion, mais l’exaltation ainsi créée ne sera qu’éphémère car les discours ampoulés, les déclarations enflammées et autres falbalas ne manqueront pas de sonner creux une fois le « vin » cuvé.
Vos propos sont creux, aussi vides que votre âme. Cette force en soi qui vous pousse à vouloir le bien, à se dévouer pour les autres, qui vous évite la démesure langagière, qui modère votre ardeur oratoire et vous emplit d’un sentiment de compassion envers vos compatriotes vous incitant à la modération et à l’humilité, il semble que vous en ignorez foncièrement l’existence mon cher David.
Votre cas semblant, à priori, relever de la pure pathologie et votre délire « tremens » font que votre outrecuidance, travers, et écarts ne suscitent qu’un agacement amusé chez le lecteur assidu de votre chronique. Quant à moi, en tant que lecteur devenu depuis occasionnel, un peu à cause de votre forfanterie, je peux dire que je vois clair dans le jeu trouble auquel vous vous adonnez. Procédé usé jusqu’à la corde :
Provoquer, susciter une réaction violente, jouer les victimes de l’intolérance, gagner la sympathie des défenseurs des droits de l’homme de la métropole et enfin manger les crottes (pardon) les marrons qu’on a tirés du feu pour vous.
Elémentaire mon cher David Redecker et bassement commercial.
Les Arabes ont vraiment inventé la poudre, vous monsieur le flagorneur la poudre d’escampette. Trop tard, trop de gens sont sur la place : Salman Rushdie, Hirsyn Ali, Sifaoui (Hacha son prénom), Tasleema Nasreen, Wafa Soltan, Sansal, Amin Zaoui, Seddik et j’en passe…
Vous pouvez toujours battre le pavé de Paris, faire le pied de grue devant le Figaro ou les locaux du présent organe Front National (en prenant soin de vous grimer), vomir votre haine de l’Arabe – pseudo aryen que vous êtes – de l’Islam , brader vos « notions idiotes » , vous ne trouverez pas preneur.
Car là bas, dans ces contrées où la foi a été bannie, où la religion « verticale » a été supplantée par une autre bien « horizontale » – excusez le plagiat – celle du veau d’or, de la logique des « parts de marché » et du « Scientisme », l’étalon est comme tout un chacun le sait l’aune de « la science », du ratio et non du verbiage.
Il se pourrait que dans leur mansuétude, ils vous offriraient un encart hebdomadaire mensuel même, histoire de ne pas laisser crever de faim un caudataire si fidèle quoique fadasse ; et là on poussera un soupir de soulagement d’avoir enfin la possibilité de feuilleter le « Quotidien » sans avoir à souffrir l’écœurant spectacle des vomissures du chroniqueur expatrié.
En toute sincérité « le harraga intellectuel » que vous aspirez d’être serait plus utile là bas pour aboyer avec la meute par les temps qui courent. Franchement vous ferez bonne figure « même halé comme moi » parmi les déchainées « ni pu… ni soumises » manifestant contre « le voile », « l’excision » et le sort fait aux femmes chez nous.
Quant à vos prétentions linguistiques, elles prêteraient plutôt à sourire si le commanditaire n’était pas aussi puissant que dangereux. Votre hargne s’abat littéralement sur la langue arabe et aucun péjorant n’est assez bon pour dénoncer le danger qui guette l’Algérien et concourt à son aliénation. L’Arabe, voilà l’envahisseur et à défaut de l’évincer, de le « purifier ethniquement », il s’agit d’éliminer sa langue pour la supplanter par « l’algérien moderne », encore un concept idiot à la façon de François Ier substituant «le françois » au bas latin. Notre Ronsard veut sa langue nationale et s’en fait le chantre.
Pour votre gouverne, l’arabe est la langue de la « Mouqadima » d’Ibn Khaldoun , du « Tafsir » en six tomes de Abderrahmane Thaalibi le Saint Patron d’Alger, d’El Annabi qui a sauvé le patrimoine écrit lors de l’invasion franque, de l’Emir Abdelkader, de toutes le dynasties berbères ainsi que les Ottomans qui ont gouverné notre beau pays. C’était la langue du progrès de la civilisation et de l’universalité.
La malheureuse dénomination « arabisation » que d’aucuns dénoncent comme une pratique aliénatrice due à la lubie idéologique panarabiste boumedieniste devrait céder place au terme plus exact de « réarabisation » car en réalité l’Algérien a toujours été arabophone même berbérophone et ce n’est pas Ibn Khaldoun qui me contredira.
« L’algérien moderne » dont vous vous faites très tardivement – voir la thèse du Magribi, « langue millénaire », et autres tentatives sous la colonisation – le farouche défenseur n’est qu’une variété dialectale de l’arabe, tout comme le marocain, le tunisien, l’égyptien, ou un registre de langue comme on en trouve dans toutes les sociétés.
En réalité, il s’en trouve aujourd’hui des puissances hégémoniques qui misent sur la division ethnique, culturelle et linguistique pour morceler les territoires afin de mieux les soumettre.
Que nous propose-t-on par le biais de porte-voix tels que monsieur Daoud. Tout simplement de se défaire de la langue arabe « séquelle d’une colonisation séculaire », alors même que d’autres suppôts affublent la langue française du titre de « butin de guerre » qu’il faut conserver coûte que coûte.
Joignant la parole à l’acte la télé s’y met : les chaines telles Medi 1 Sat, Beur FM, « Nessma » se proclamant la chaîne du Maghreb « non arabe », dont Berlusconi et quelques Tunisiens de confession sont les actionnaires majeurs, veulent hisser la daridja tunisienne, algérienne et marocaine au rang de langue médiatique destinée à capter le public maghrébin.
Le même procédé pavlovien basé sur la répétition et la banalisation veut jeter les fondements d’une langue maghrébine et accréditer la croyance que ce parler décousu, ce sabir bariolé à la sauce francophile de « Nass Nessma » et leur animateur tout droit sorti d’une BD d’Hugo Pratt est la langue future digne d’être enseignée au Maghreb francophone. Le concept de « Code Switching » largement popularisé par les thèses de doctorat et les revues linguistiques procède de la même stratégie. Mâtiner, bâtardiser les langues des pays jadis colonisés pour les maintenir dans la sujétion culturelle.
Vous n’êtes qu’un zouave de plus, un conscrit de la gamelle, un type très ordinaire rêvassant de gloire même au prix de toutes les compromissions. Tenez, vous me rappelez ces nouveaux convertis, ces renégats troquant la foi de leurs ancêtres contre des broutilles à l’image des négriers africains cédant l’ébène contre les babioles apportées par marins nantais. Il est vrai que la nouvelle religion a de quoi séduire : en renonçant à l’Islam, on a le droit de manger pendant le Ramadhan, de boire jusqu’à l’ivresse, de manger du jambon, de ne prier qu’une fois par semaine sans être obligé de s’asperger d’eau en hiver, de se contenter de papier hygiénique, de forniquer en toute quiétude, d’accrocher aux murs de son salon les copies des nus célèbres, de tuer les infidèles puisqu’ils ils n’ont pas d’âme, de commettre tous les crimes et turpitudes et de confesser tout cela au prêtre et à l’aumônier pour accéder au Ciel.
En somme, un rêve de fainéant.
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