brea
Nom du Village pendant la présence française : BREA
Nom actuel après 1962 : Abou-Tachfine
Situation en Algérie :
Dans l'Ouest Algérien à 4 Km au Nord de Tlemcen. Au pied des monts de Tlemcen appartenant au Tell et particulièrement la chaîne de Lalla Setti. Historama Tlemcen occupée par le général Clauzel en 1836 est énergiquement défendue par le Général Cavaignac ; Cependant le traité de la Tafna (20 mai 1837) cède la ville à Abdelkader qui en fait sa capitale. Tlemcen est investie ensuite par les troupes du Général Bugeaud, fin janvier 1842, et devient définitivement une possession de la France (3) ; aux alentours quatre villages sont créés : Negrier, Saf-Saf, Hennaya et Bréa. Dés l'occupation de Tlemcen, l'autorité militaire préoccupée de fournir subsistance aux hommes et aux chevaux, accapare une propriété appartenant au Beylick de la ville ; et c'est autour du lieu dit "La Ferme" que naît le village de Bréa (2), bastion avancé de Tlemcen, formé d'une enceinte en terre battue avec tambours en maçonnerie (existant encore en 1962) pour résister à un coup de main de l'adversaire. Une lettre du Général commandant la subdivision de Tlemcen, du 25 Septembre 1849, au Général Pelissier, commandant la Province d'Oran, renseigne sur sa situation et l'état d’avancement des travaux de fortification. Personnalité à l'origine de la création (1) : Le Capitaine SAFRANE, administrateur de talent, est d'origine Béarnaise. Né à Pardies-Pietat dans les Pyrénées Atlantiques (Basses Pyrénées à l'époque) le 13.07.1800, il participe à la conquète de l'Algerie. Trouvant le pays beau et plein d'avenir il fait venir de son village natal (le vidant ainsi d'une bonne partie de ses habitants), ses deux nièces et leurs maris Mirande et Lacoste, ainsi que les artisans (boulanger, peintre, boucher, maçon) et paysans. Ils obtiennent des concessions autour de la "ferme" qui allait devenir Bréa Une lettre de sa main nous apprend que le 15 Décembre 1848 arrivent : Duffau, L'Hôte Jean, et Lacoste Pascal, au salaire de 300 Frs par an, couchés, nourris, un demi-litre de vin par jour avec voyage à leurs frais ; suivent ensuite quelques soldats et déportés politiques. Date de création du Village et origine du nom : Le village émerge dès 1846 et prend le nom définitif de Bréa en février 1848, en souvenir d'un Général assassiné à Paris lors des émeutes du même mois. Le décret du 11 Janvier 1849 attribue une concession de 630 Hectares comprenant cinquante propriétés environ (1) Lieu-dit "La Ferme" Premiers colons français Amouroux Jea Barthe François Benni Antoine Bernard Georges Bergé Jacques Bernadi Auguste Bertapmesque Pierre Bordonnanche Claude Casaubon Jean Campets Jean Cariey Jean Cochet Manot-Joachin Cochet Marcel-Joseph Corbière Jean Delsol Hippolyte Flagnac Jean Fontan Louis Fraissinet Jean-Baptiste Garland Isidore Henrion Nicolas Isnard Louis Lacoste Pascal Lavigne Pierr Leonard Herculin L'Hôte Jean-Nicolas Lhotelier Pierre Lombard Joseph Marchal Nicolas Martel Alphonse Mathieu né Garland Mirande François Moncla Enrico Ollagnier Etienne Mancret Jean-Pierre Rioux Yves Safrane Pierre Santucci Joseph Simon Joseph-Baptiste Turelle Jacques Varenghien Nicolas Quarante deux maisons sont occupées par autant de famille, chacune avec un jardin de 15 à 20 ares, un lot de culture de 8 à 10 hectares. La plus grande partie d'entre elles ont les voitures et les instruments aratoires nécessaires à l’exploitation, et ils n'auront besoin - de temps à autre - que de quelques secours. Quarante de ces maisons ont été construites par l'Etat, deux seulement aux frais des colons. Vingt deux agriculteurs sont mariés et les autres préfèrent se rendre en France pour y prendre femme dans des familles connues d'eux antérieurement pour fonder un foyer à Bréa. La population s'accrut rapidement ; D'ailleurs un jour le Général Mac Mahon, étant sur la colline au Nord de Bréa apprit que le premier enfant du village était né "C'est un garçon, dit-il, ce sera mon filleul". C'est ainsi que le premier-né à Bréa dans la famille Bernard s'appela Charles. Nom des Maires successifs et dates des mandats (1) Bréa eut un Adjoint spécial pour représenter la municipalité de Tlemcen dans le village : Nominations : 18/06/1854, 14/12/1857 : Joseph Lombard, 16/02/1861 : François Mirande. Elections : 01/02/1864, 10/08/1867, 27/10/1870 : Manot-Joachin Cochet ; 1886 : Joseph Cochet ; 1889 : Jean Lamassoure ; .... ; 1895 : Joseph Lacoste ; 1900 : Benoît Garidou Nominations dont les années de mandats restent à préciser : Pierre Cochet, Gilbert Garidou Paul Santucci fut le dernier délégué spécial de Tlemcen à Bréa Gardes Champêtres : MM. Lacombe, Mauboules 1850, Phleyer Jean-Jacques 1857, Gabrions 1863, .Mr Venel, M Quessada Nom des prêtres successifs (2) Depuis la création du village c'est le curé de Tlemcen qui assure le culte ; il se déplace à cheval. Le décret du 31 Janvier 1856 y érige une paroisse sous le patronage de St Dominique. Le premier Curé y est installé le 30 octobre : l'Abbé Jean Gaubert, originaire de l'Ariège, ordonné prêtre à Alger en 1855. Découragé il quitte Bréa et retourne en France en 1860 ; lui succèdent les Abbés : Joseph Ferfié (1860-1866), Bernard Rivière (1866-1870), Ignace Ritter (1870-1871) et c'est en 1869 que l'église est édifiée. Mal construite, elle est inutilisée de 1920 à 1925. Le 18 Juin 1933, Bréa reçoit Mgr l'Evêque lors de la communion solennelle d'une dizaine d'enfants. Pour ce jour de fête, deux petits autels sont mis en place : l'un dédié à Ste Thérèse, l'autre à la Ste Vierge. L'église s'embellit peu à peu et en 1960 des travaux sont encore réalisés. A noter que Bréa, Négrier et Saf-Saf ont presque toujours eu le même Curé : l'Abbé Gouze de 1936 à 1947, l'Abbé Raoul Giroir de 1947 à 1951, l'Abbé Joseph Tendron de 1951 à 1958. L'Abbé Pierre Bienfait est le dernier Curé de Bréa.(2) La cloche, qui avait pour parrain Mr Mirande et marraine Mme Horticoulou lorsqu'elle a été installée à Bréa, serait désormais sur le clocher de l'église de Biars sur Cere dans le Département du Lot (Code postal 46130). Le parvis de l'église Les Habitants de BREA en 1962 (De l'Ouest vers l'Est et Rue par rue) : 1ère Rue : Rue Safrané Familles Cabanel, Jean Barthe, Irénée Duchene, Rose L'hôte puis Fabien Azan et Emile Houles, Aimée Barthe et Jeannot Barthe, Khanout, Safrane Rideau, La rue du Lavoir (cliquer sur l'image pour agrandir) et en remontant vers le sud : occupant Famille Venel puis Maxime Houvert, Michel Barthe puis Marie Ramade et Fernand L'Hôte, locataires Castagné, Barthe Joseph puis Tilou Barthe, Georges Terpant, Louise Barthe puis locataires : M Marques,puis André Bernard , la cave locataire Leonard puis Petit, Sylvain Barthe.. 2ème rue : Rue de la Cantine Familles Henri Barthe, Drulhon-Garidou Paulette occupant Bouti, Mme Avantin Louis Toulouse, Amédée Cochet, M Leonard, puis Armand Cochet,, Ben Slimane, Valleur Françis (Locataires Garcia), Jean Lamassoure,... ?...., Paul Barthe puis Yvon Barthe, et en remontant place du monument aux morts, Mairie, Ecole. 3ème rue : Rue de Tlemcen Negrier Louisou Barbe puis Granier, Frayssinet puis Perricot Case, Instituteurs : Mme Santucci, Mme Montagné, ,Mme Deil puis, Mme Brion, Place du monument aux morts, M Quessada, Paul Oules, Paul Santucci et en remontant vers le sud, Georges Cochet puis Fernand Garidou, Jean Lacoste, place de foot, Charles Parodi, Joseph Avantin puis Daniel Avantin. 4ème rue : Rue de l’église En remontant vers le sud : Mme Santucci puis Ben Mansour, Gilbert Garidou, Pascal Lacoste puis Pierrot Lacoste (Frères Laporte locataires), Eglise, Joseph Lacoste, Delsol (Bouda-Aïcha- Ghemaz occupants), Barisain Monrose puis Albert Lacoste. 5ème rue : Rue de la SIAN Distillerie Sicard, Cochet joseph Manot,, Justin Duchene Dufour, Joseph Cochet puis Paul Cochet (Ferrer occupant), Jules Cochet (Carretero, Popesco, Breton occupants successifs), Jean Cochet puis occupant Pierre Meynadier, Camille Parodi ,... ?.. , Nicolas Cochet puis Cyrille Cochet et en remontant vers le sud , ... ? ..., Pierre Cochet puis Etiennne Cochet, Distillerie SIAN, Georges Bernhardt. L'abreuvoir Nord (cliquer sur l'image pour agrandir) La maison du garde Barrière (Carrefour Route de Tlemcen-Hennaya et Route de Bréa) (cliquer sur l'image pour agrandir) A l’extérieur du Village Route d’Hennaya vers l’Ouest :Aux Bains Romains : Fernand L’hote A la gare : Mme Pujol puis Famille Iramente puis Famille Agulo Premier Passage à niveau Sud (vers Tlemcen) : Mr Latarche puis Mr Fournier Deuxieme Passage à niveau (carrefour route de Tlemcen Hennaya et route Bréa) : Familles Ximenez, Fernandez 1941-1953, Botella, Bernard, Lapeyre et à la ferme Leonard, Marcel Lacoste Kerchera (au Sud, Rte de Tlemcen) Fernand Garidou, Roger lauberge Passage à niveau Nord (vers Negrier) : Mme Ferra, Mr Bernhardt Nombre approximatif d'habitants en 1962 : 200 (il y avait à Bréa en 1911 : 251 personnes représentant 57 familles y compris les domestiques) Nature du paysage A la lisière des calcaires jurassiques, paysage de calcaires fissurés avec grottes, galeries souterraines, nappes aquifères captives ou libres, sources ; riches terrains des couches tertiaires puis en allant vers le Nord, collines avec rochers affleurants. Climat Comme Tlemcen, Bréa est abritée des vents brûlants et des sables du Sahara par les écrans de montagnes et reçoit au contraire les vents plus frais de la mer (3) La température en hiver ne descend jamais au dessous de moins 5°. Il neige très exceptionnellement ; au maximum la couche atteint à Bréa les 20 Cm. Pour skier, il faut aller vers l’arrière-pays, à Terny et Talterny à 1200 mètres d'altitude Activités générales économiques en 1962 Le périmètre de Bréa était initialement de 418 hectares qui avaient été concédés. En 1856, l'administration y ajouta des terrains des sections F et H du plan général de Bréa, ce qui accrut de 425 hectares la superficie existante. Dans un premier temps, les colons ont préféré les cultures céréalières, puis ils se sont orientés vers l'élevage dont ils tiraient meilleur profit De nos jours, le périmètre de Bréa est de 1400 hectares environ ; les vignobles ainsi que l'olivier, qui ont remplacé les céréales constituent la principale richesse du pays. L'ensemble du territoire en 1962 était essentiellement cultivé en vignes, oliviers et céréales. Les cépages en vigne étaient en Rouge - le Carignan, l'alicante, le cinsault le Grenache et en blanc le maccabeo, malvoisie, ugni blanc, muscat etc , vinifiés en cave particulière dans le village et appelés Vins des coteaux de Tlemcen (rouges, corsés, souples, de couleur rubis, bien charpentés) ; En raisin de table, le muscat et le valency etc. Pour les vendanges, il était fait appel à des ouvriers saisonniers des villages voisins :Ain el Hout et Ouzidane. A l'année des ouvriers permanents, de Bréa principalement, étaient chargés des divers travaux des exploitations. Les olives étaient travaillées à l'huilerie coopérative de Tlemcen, qui produisait de l'huile vierge extraite par première pression à froid sans traitement chimique. Les céréales après moisson étaient rassemblées en meules sur un terrain plat dénommé «le sol» dans la partie Est du village et faisaient l'objet de battage avec une batteuse déplacée pour la circonstance pour quelques jours, et actionnée par la poulie d'un tracteur. Cette période de travaux intenses animait le village. A noter la présence de quelques vergers (cerises, pêches, grenades, poires, pommes, prunes, oranges navel, limes, clémentines, nèfles, prunes, abricots, figues) et des productions légumières de plein champ ; l'ensemble lié à la présence d’eau pour l'irrigation traditionnelle en surface (Voir nature du paysage). Parmi les autres activités, la distillerie de la Sté industrielle d'Afrique du nord (Sian) traitait entre autres les marcs de raisin de la production de Bréa et d'ailleurs. Certains collaborateurs de cette entreprise habitaient le village. La voie ferrée Tlemcen-Bréa-Hennaya-Benisaf (port de pêche et de commerce à 70 Km sur la Méditerranée) concernait le transport de marchandises sur voie étroite et contournait le village par l'est. Bréa avait une gare. Commerce : L'épicerie / dépôt de pain / bar-tabac tenue par Mr et Mme Amédée Cochet (qui avaient succédé à la famille Toulouse, laquelle tenait cette activité de Mme Avantin, propriétaire), servant de point de rencontre pour les joueurs de belote et de pétanque.le soir après le travail des champs. Le boucher ambulant du village était Khanout. Services publics : Une école mixte fut créée en 1851 (4). Mme Loustalot, institutrice à Hennaya, fut nommée à Bréa. Elle fut remplacée en 1866 par Mme Bez Adonis. Plus tard, Mme Santucci, Mme Montagné, ,Mme Deil puis, Mme Brion enseignent aux enfants. L'école regroupait en une classe unique jusqu'au certificat d'études, principalement les enfants du village français. Plus tard et avant l'indépendance, les classes furent dédoublées pour rendre l'école davantage accessible aux enfants du village autochtone. Le central téléphonique était assuré par Mme Amédée Cochet qui passait les communications d'appelants. Pour appeler, les abonnés sollicitaient directement auprès d'une opératrice de Tlemcen le numéro souhaité. L'automatique prit le relais dans les années 1958-60. la classe unique du village en 1949 (cliquer sur l'image pour agrandir) Les cantonniers furent Mr Cabanel puis Djilalli Bouti. Ils assuraient l'entretien du village au moyen d'une carriole à deux roues tirée par un âne. la benne de ramassage pour l'entretien des rues assuré par un cantonnier (cliquer sur l'image pour agrandir) Patrimoine Nature : Les rues du village, ainsi que les places, étaient plantées de mûriers. La route au sud vers Tlemcen était bordée de micocouliers qui portaient des fruits de la taille d'un petit pois appelés perpines ; Les figuiers de barbarie, les aloès faisaient partie du paysage ; de même que les ravenelles, les coquelicots, les gouttes de sang (adonis) fenouil, bourse à pasteur, mauves, les marguerites sauvages, anémones etc. Présence d'oliveraies centenaires, de caroubiers ; Les oiseaux étaient nombreux : moineaux domestiques, verdiers d'Europe, chardonnerets élégants, serins cini, pinsons des arbres, fauvettes à lunettes, rouge-gorges, bergeronnettes grises, rossignols philomèles, martinets noirs, hirondelles rustiques, et alouettes des champs sur les chaumes ; le clocher de l'église accueillait chaque année un couple de cigognes blanches. De nombreux étourneaux sansonnets peuplaient la région. Dans le ciel on observait et entendait les passages des oiseaux migrateurs ! Exceptionnellement, des nuages de sauterelles dévastaient toute la végétation sur leur passage Les lièvres, cailles des blés, perdrix gambra, et sangliers assuraient le bonheur des chasseurs La pêche n'était possible qu'à condition de rejoindre la Tafna (barbeaux et anguilles) qui se jette dans la Méditerranée devant l'île volcanique de Rachgoun. Alentours à voir : Les cascades, Les petits perdreaux avec vue sur les cultures depuis le plateau, les ruines de Mansourah avec le coucher de soleil, le barrage de Beni badel qui alimente la ville d'Oran à 150 Km en eau douce, le barrage du Mefrouch, les forêts de chêne liège des Zarifetes et d'Hafir, les mosquées de Tlemcen, la mosquée de Sidi Bou Medine, Terny et Talterny, Rachgoun (la plage) etc, les artisans fabriquant des tapis à points noués à Tlemcen, et Ain el Hout (source des poissons) au nord de Bréa en direction de Negrier et Saf-Saf. Anecdotes : En l'absence de piscine, les enfants de Bréa ont pour la plupart appris à nager au bassin de Rabere (destiné à l'irrigation) ainsi qu'au lavoir du village. Les enfants construisaient des planches roulantes avec des roulements à bille de voitures ou de camions et faisaient la course, en étant plusieurs sur celles-ci, dans la descente de Négrier vers le passage à niveau Nord en guidant leurs engins au risque de rencontrer, de face, les véhicules qui montaient et bien sûr de les éviter pour ajouter à la griserie. Le train de marchandises remontait péniblement de Beni-Saf à Tlemcen, à tel point que les roues patinaient dans la montée et que les enfants après avoir écouté (en posant l'oreille à même le rail) l'arrivée à très petite vitesse du train, disposaient sur les rails des cailloux pensant accroître la difficulté de la locomotive à charbon. Parfois, avant les événements, une partie des gens du village se retrouvaient vers Rachgoun pour un repas en commun : riz et mounas étaient au menu, avec l'anisette. Le monument aux morts (cliquer sur l'image pour agrandir) Régiments successifs ayant établi garnison durant les évènements Le Peloton et Avion/groupe aerien d'observation d'artillerie N°7.commandé par le Colonel Lanneluc. 7ème Régiment d'Infanterie V/10eme Régiment d'Infanterie coloniale du Maroc (RICM) présent en 1956 commandé par le Capitaine Dolce-Rocca . (2° escadron de chars legers Chaffee).(5) Régiment d'Artillerie Coloniale Commandé par le Colonel Parent.. A noter qu'en l'absence de l'armée, les hommes du village s'étaient organisés pour assurer des rondes de garde, la nuit avec leurs fusils de chasse cal 12 ou 16 et chevrotines. Le monument aux morts représentant un poilu de 1914-1918 aurait été enlevé par les soldats d'un régiment français du Génie et emporté en Métropole en 1963 en un lieu inconnu et toujours recherché à ce jour Date de départ général après nationalisation : Octobre 1963. Les dernières familles ont quitté Bréa en 1964. Merci à tous ceux qui voudront bien enrichir cette page, en nous faisant parvenir des infos complémentaires, des photos, des cartes postales de Bréa etc. --------------------- (1) Commémoration du centenaire de Bréa 11/01/1849 -3/08/1952 (2) Extraits de Collection Père Duvollet vol XIX p 83.. (3) Extraits de : Géographie militaire livre VI - Algerie et Tunisie (4) André Lecocq : Histoire des débuts de la colonisation dans la subdivision de Tlemcen 1842-1870 (5)- Extrait du livre :Le RICM en Algerie Rédaction Robert Garidou Créaiton graphique et mise en page : Catherine Lange Retour
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